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20h - Première Partie - Atelier de l'IMFP encadré par Bastien Roblot
Yohan Garcia - Batterie
Romain Revest - Basse
Vincent Cuccia - Guitare
Matheo Viala - Chant
Laura Tendil - Chant
Charlotte Daffaure - Chant
Restauration possible avec Saveurs Réunion
21h - Moses Patrou
Chanteur, song-writer, compositeur et mutli-instrumentiste new-yorkais originaire du Tenessee, fils du pianiste chanteur Johnny Chimes, Moses accompagnait son père à l’âge de 14 ans dans les clubs du Midwest. Élevé au blues, Moses Patrou tombe vite amoureux de la musique et surtout des percussions, art qu’il développera au côté du Clyde Stubblefield en personne (le funky drummer de James Brown) et qu’il peaufinera en s’installant temporairement au Brésil et à Cuba. Après avoir aussi gouté aux fanfares dans les rues de New-Orleans, Moses devient membre du désormais coté Young Blood Brass Band, basé à New-York. C’est là-bas, à Harlem, qu’il officie comme professeur de percussions latines et africaines.
Après Introducing Moses Patrou, son premier album produit par Léo Sidran, puis son EP Can’t stop vol.1, il sort en 2025 son 3e opus Confession of a fool. Logiquement, l'éclectisme de son parcours se reflète dans ces albums solo. Moses Patrou s’y révèle multi-instrumentiste de talent, concoctant avec finesse rythmes et parties de claviers, entre titres funky à la Meters, ballade soul, blues au swing décontracté et pulsation second line.
En live, tantôt derrière la batterie, tantôt derrière l'orgue, Moses partage avec générosité son authentique amour de la musique. Au travers de son large répertoire de compositions mais aussi de covers (The Meters, Taj Mahal, Bill Withers etc...), il envoûte musiciens et public avec son groove puissant et sa voix chaude. De quoi faire le plein de good vibes à coup sûr.
C’est à New York en 2009 que Moses rencontre le pianiste-chanteur hyèrois Pierre Sibille, qui l’invite à venir jouer sa musique en France, avec des musiciens de son collectif Blues'up. Le succès musical et humain de cette première tournée française l’amènera à renouveler l’expérience plusieurs fois dans les années 2010. Prochaine tournée sud-française en mai 2025, avec une escale à Salon le 13 mai. Le groupe invitera ce soir là l'excellent pianiste et chanteur marseillais Julien Brunetaud, jazzman spécialiste du blues et du boogie.
Moses Patrou : chant lead, batterie
Pierre Sibille : clavier, choeurs, harmonica
Ludovic Briand : guitare, choeurs
Sam Favreau : basse
Julien Brunetaud : piano, chant
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20h Première Partie - Atelier de l'IMFP encadré par Cyril Achard
Sven Clerx - Batterie
Abel Pierre Beausse - Basse
Marius Grinda - Piano
Lucchino Paquola - Guitare
Elsa Mazeran - Chant
Restauration possible dès 19h avec TradiStreet
21h Duo Olivier Ker Ourio / Manuel Rocheman
Un ami offrit un jour à Olivier Ker Ourio « Affinity », le sublime album que Bill Evans enregistra en 1978 avec Toots Thielemans. Cette découverte fut décisive dans sa vie de jazzman et joueur d’harmonica chromatique. « Je reçus à son écoute une claque himalayesque, se souvient-il. C’est par ce disque que j’ai vraiment découvert l’harmonica jazz et toutes ses possibilités. Devant un tel Everest, j’ai failli arrêter la musique. Quelques jours plus tard, je me suis ressaisi en me disant que si Toots avait gravi un tel sommet, il y avait pour moi un chemin possible, une lumière au loin sur cette voie escarpée. Depuis lors je me suis attelé à la tâche en cherchant à trouver ma propre voix. » En transformant le plus enfantin et ingrat des instruments en un orgue à bouche par lequel l’harmonie « respire » naturellement, dans le sillage de son Maître mais en sachant se démarquer de son influence, Olivier a réussi son pari : trouver sa voix en jouant de son « chrome sandwich » (comme se plaisait à le nommer l’Oncle Toots) avec autant de souplesse et facilité qu’un grand saxophoniste, avec un sens harmonique très sûr, une sensibilité lyrique affirmée (« jouer de l’harmonica, c’est être quasiment chanteur ») et beaucoup de feeling.
Au départ ces bandes enregistrées sur le vif dans la chaude intimité d’un club (le Petit Duc à Aix-en-Provence, lieu très convivial animé par Gérard Dahan et le Hot Club de Lyon, présidé par Ludwig Laisné) n’avaient pas vocation à être un jour publiées. C’est à leur réécoute qu’Olivier et Manuel se sont convaincus qu’il était temps d’en faire un disque qui témoigne de leur entente mutuelle et d’un compagnonnage de plus de trente ans. Une évidence : le public par la qualité de son écoute est ici essentiel dans la réussite de leurs libres échanges. Sa présence proche et son attention bienveillante stimulent en retour les deux amis pour porter la musique à un degré d’incandescence plus élevé, inattendu.
« On ne s’accorde musicalement que si d’abord on s’accorde humainement». On peut compléter cette parole de Manuel par cet apophtegme de Cioran : « Je crois que la musique est vraiment le seul art capable de créer une complicité profonde entre deux êtres. » Qu’est-ce que l’affinité ? Une forme intime de voisinage (affinitas en latin) qui exprime un puissant degré de proximité à l’autre avec qui on a le bonheur de partager une communauté de goûts. C’est précisément ce qui se passe tout au long d’« Affinities ». Double entente, connivence, complicité, relation quasi télépathique, libre circulation des énergies, même longueur d’ondes, tels sont les mots et expressions qui caractérisent les affinités qui relient Manuel et Olivier dans leur amicale conversation. Cela donne, sans le soutien d’une section rythmique, un dialogue en toute confiance, sans filet ni artifice, jamais duel, où les deux complices ne s’autorisent aucune fuite de présence. Ici l’échange ne se réduit jamais à une simple suite de répliques, mais se vit dans le mouvement même de la musique. En même temps, sur le fil de l’instant, ils s’écoutent, ils se parlent, bref ils s’entendent à merveille. Toujours aux aguets, le pianiste accompagne, anticipe et prolonge avec beaucoup d’intelligence et de sensibilité le chant ondoyant d’Olivier. C’est que Manuel connaît bien l’art de poser les notes justes, de placer les accords exactement là où l’harmoniciste a besoin de faire respirer ses phrases. Par la variété du timbre et de ses effets, par ses élégantes glissades et feulements sensuels (« une sorte de miaulement roucoulé » selon cette belle formule empruntée à Colette), par la fluidité de son phrasé et la précision de sa mise en place, le jeu de Ker Ourio s’affirme au fil des plages au diapason de celui de Rocheman.
Le répertoire, depuis longtemps rôdé en club, reflète ici parfaitement l’amour des deux amis pour des mélodies riches et stimulantes pour l’improvisation. Au menu, deux titres déjà présents dans « Affinity » en 1978 : I Do it for Your Love, sublime mélodie infectieuse signée de Paul Simon et The Days of Wine and Roses de Henry Mancini. Leur écoute comparée s’avère un bon test pour vérifier que les versions que nous offre ici le duo « Affinities » ne sont en rien le copier-coller des celles de Bill et Toots. Plutôt une nouvelle visite en forme de prolongement original. En plus de titres de la plume de Dave Brubeck, Wayne Shorter, Michel Legrand et Serge Gainsbourg, chacun des deux compères a choisi de partager sa composition fétiche. Pour Manuel, c’est le magnifique Just Love précédemment publié en solo sur le disque « At Barloyd’s » en 2021 et « Paris-Maurice » avec Nadine Bellombre en 2013. Cette composition a décidément tous les atouts pour devenir un standard. Pour Olivier, c’est Siroko, thème entêtant déjà enregistré, entre autres, avec Ralph Towner en 2005 dans un album éponyme et avec Emmanuel Bex en 2014 dans « Perfect Match ». Au final, tout cela donne un album surprenant, vivant, subtilement « cultivé » à écouter et réécouter jusqu’au bout de la nuit. Et plus si affinités… Pascal Anquetil
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Olivier Ker Ourio - Harmonica
Manuel Rocheman - Piano
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20h « Confidence »
La musique d'Andrea Caparros & Emile Melenchon transpire des émotions qui sont livrées dans la plus grande sincérité. Leurs compositions sont issues d’histoires, d’épreuves et d’instants de joies, façonnant un mélange de textures qui viennent agrémenter la palette des sons et des sens. L’influence Brésilienne est au cœur de ce projet musical en duo voix/guitare et looper mais laisse place à l’improvisation et à l’instantané pour en faire un duo singulier et complice. Les artistes vous dévoilent leur nouvel album de compositions « Confidence »
"Confidence" / "Sambadalu"
Emile Melenchon - Guitare
Andrea Caparros - Voix
Restauration possible dès 19h avec TradiStreet
Lo Triò (le trio en occitan) réuni 3 jeunes musiciens du sud de la France. L’un est provençal de Toulon (Emile Mélenchon) les deux autres sont languedociens de Toulouse. Ce trio a vu le jour sur la route, et continue d’évoluer en se produisant dans les clubs de diverses régions de France ou d’autres pays d’Europe. Quand ils ne sont pas aux quatre coins du globe avec leurs différentes formations, c’est à Paris qu’ils se retrouvent pour préparer leur musique. Compositeurs de la plupart des œuvres qu’ils interprètent, les 3 complices revisitent aussi les grands standards du Jazz ou de la Pop dans une sonorité des plus acoustiques et intimistes qui ne peut qu’être mise en valeur par cette formule savoureuse !
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20h Première Partie - Atelier des élèves de l'IESM en formation au Diplôme d'Etat Musiques Actuelles Amplifiées encadré par Bastien ROBLOT
Ugo Deschamps - Batterie
Bastien Roblot - Basse
Adam Guiraud - Guitare
Laurent Garnier - Guitare
Isis Amouretti - Chant
Luca Morand - Chant
21h Thomas Fratti "Temps Suspendu"
"Temps Suspendu" est un projet musical captivant dirigé par le guitariste Thomas Fratti, réunissant une équipe talentueuse de musiciens pour créer une expérience sonore unique.
A ses côtés, Marion Sanchez apporte sa voix envoûtante, ajoutant une dimension émotionnelle aux compositions. La batterie de Lionel Guiochon, énergique et précise, soutient la dynamique de l’ensemble, tandis que David Vincent, au piano et aux claviers, enrichit le tout avec ses textures harmonieuses. Enfin, Leo Chazallet à la basse tisse des lignes mélodiques profondes qui ancrent le projet dans une atmosphère à la fois moderne et intemporelle.
Ce projet explore des thèmes universels tels que la mélancolie, la contemplation et l’évasion à travers une fusion de styles musicaux, mêlant des influences jazz, pop et contemporaines. Les morceaux de "Temps Suspendu" sont conçus pour transporter l’auditeur dans un voyage introspectif, où chaque note et chaque parole résonnent comme une invitation à suspendre le temps et à se plonger dans l’instant présent.L'alchimie entre les membres du groupe se manifeste à travers des compositions élaborées et des improvisations inspirées, créant une connexion palpable sur scène. "Temps Suspendu" est bien plus qu’un simple album ; c’est une exploration musicale et émotionnelle qui promet de toucher le cœur des auditeurs. Avec ce projet, Thomas Fratti et son équipe proposent une expérience immersive où la musique devient un langage universel, capable de transcender le quotidien et d’élever l’âme.
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Lionel Guiochon - Batterie
Léo Chazallet - Basse
David Vincent - Piano
Thomas Fratti - Guitare
Marion Sanchez - Chant
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20h Première Partie - Atelier de l'IMFP encadré par Philippe Petrucciani
Romain Grosso - Batterie
Stéphane Loyau - Contrebasse
Francois Michel - Piano
Fréderic Costa - Trombone
Océane Manca - Chant
Restauration possible dès 19h avec Saveurs Réunion
21h Jean-Michel Cabrol - "Mosaïc Jazz 4tet"
Saxophoniste, flutiste et compositeur très prolifique dans la sphère du Jazz actuel. Après une collaboration avec le fameux tromboniste américain Glenn Ferris et son groupe «Pentessence» (1er prix de l’Académie du Jazz pour l’album «Skin me»), Jean- Michel Cabrol se produit sur la scène française au sein de son quartet de Jazz avec lequel il présente son nouveau projet «MOSAIC JAZZ 4 tet».
Cette initiative artistique a pris forme grâce à la collaboration étroite avec Gérard Poncin, le talentueux pianiste du groupe, dont l'expertise musicale a joué un rôle crucial dans la définition de l'identité sonore unique du quartet.
Ensemble, ces musiciens passionnés se sont lancés dans une aventure créative, donnant naissance à un répertoire original qui se distingue par sa diversité stylistique et sa richesse émotionnelle. Chaque composition du Mosaic Jazz 4tet peut être considérée comme une pièce distincte d'une vaste mosaïque musicale, où les différents styles et influences s'entremêlent harmonieusement pour créer un paysage sonore captivant et varié.
Cette approche personnalisée de la composition et de l'interprétation confère au Mosaic Jazz 4tet une signature sonore distinctive dans le paysage Jazz actuel.
Gérard Poncin - Piano, Synthétiseur
Vincent Calmettes - Drums
Philippe Panel - Basse électrique, Contrebasse
Jean Michel Cabrol - Sax Soprano, Tenor.
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20h Première Partie - Atelier de l'IMFP encadré par Bastien Roblot
Charlotte Sani - Batterie
Gabrielle Harpaillé - Basse
Tim Gauby - Guitare
Lionel Zalachas - Guitare
Diégo Vingtain - Guitare
Léna Larcher - Chant
Ines Caste - Chant
Pas de restauration
21h - Dusty Gong
Composé de quatre amis partageant une passion commune pour le reggae depuis leur plus jeune age, Dusty Gong explore l'univers de Bob Marley, Peter Tosh, Burning Spear, The Gladiators, Steel Pulse, dont le groove est le carburant de cette musique emblématique de la Jamaïque.
Cody - Chant, guitare rythmique
Julien Husson - Guitare lead
Ben Fouquet - Basse
Zé - Batterie
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Sans concession aucune, Pierrick poursuit son irrésistible ascension explorant un jazz toujours plus profond ; spirituel et communicatif, virtuose et contemporain. Cette force singulière le place aujourd’hui au rang des grands solistes internationaux et lui offre une place de choix parmi les leaders emblématiques de la scène européenne.
En parallèle d’une production discographique foisonnante, Pierrick Pédron écume les scènes depuis 2019 à la tête d’un quartet français. Il se compose de l’incontournable contrebassiste Thomas Bramerie (Toots Thielemans, Dee Dee Bridgewater, Jacky Terrasson), un partenaire de 30 ans , et de deux acteurs passionnants de la nouvelle scène: le pianiste Carl-Henri Morisset (Archie Shepp, Arnaud Dolmen ...), « 30 ans et une musicalité hors du commun » selon Louis-Julien Nicolaou (Télérama), et le batteur Elie Martin-Charrière ( Robinson Khoury, Mark Priore...), « tambour majeur du jazz français d’aujourd’hui » selon Pascal Anquetil ( Jazz Magazine.)
Ce quartet intergénérationnel a su développer au fil du temps un vivre (le jazz) ensemble hors du commun. Dans la grande tradition de la transmission, la flagrante maturité des uns se mêle à la vitalité magmatique des autres. Le tout devient alors une entité unique, mouvante, interconnectée, créative et exigeante, hautement supérieur à la somme de ses parties.
C’est ce mouvement initié depuis 5 ans qui se révèle enfin à travers le tant attendu premier album d’un quartet d’exception. Témoin d’un des moments de grâce offert sur scène par le groupe, le directeur artistique Daniel Yvinec propose une nouvelle montagne à gravir. Pourquoi ne pas se confronter à l’impossible en revisitant "The Shape of Jazz to Come", l’un des disques charnière d’Ornette Coleman, enregistré en 1959.
L’œuvre originale offre un nombre considérable d’interstices et de fenêtres ouvertes dans lesquelles le quartet va pouvoir s’engouffrer. Apposer des harmonies à la musique d’Ornette s’avère un projet périlleux à bien des égards. Laurent Courthaliac, le « maître harmoniste » déjà à l ‘oeuvre sur 50/50 et Pedron/ Rubalcaba se met au travail et imagine avec Pedron et Yvinec mille manières de transfigurer l’album-manifeste.
S’immergeant dans l’univers d’Ornette, le saxophoniste en disséquera les ornements, les phrasés, il retranscrira ses solos, fera siennes les moindres fluctuations au point de reconsidérer sa propre manière de jouer le saxophone.
Mus par une même force, un même désir, tous les partenaires impliqués plongent dans le matériau d’origine et le remodèlent à leur image. Au bout de l'aventure, se dévoile l’incontestable singularité́ d’un quartet extraordinaire. Toute la thématique d’Ornette est là, mais elle est réordonnée, son architecture est transfigurée ...Chaque titre, comme jeu de piste, permet de célébrer l’essence de l’oeuvre originale : une volonté farouche de toujours réaffirmer la liberté et de dessiner collectivement les contours d’un avenir commun.
PIERRICK PEDRON - Saxophone
CARL-HENRI MORISSET - Piano
THOMAS BRAMERIE - Contrebasse
ELIE MARTIN-CHARRIERE - Batterie
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20h Première Partie - Atelier de l'IMFP encadré par Philippe Canovas
Thomas Bernard - Batterie
Loup Marchetti - Basse
Nans Feraud - Accordéon
Tao Fanton - Guitare
Florian Siarri - Guitare
Manon Audouy - Guitare
21h Sonidera
Sonidera est né en 2024, de la rencontre de sept musiciens passionnés, chacun contribuant au style hybride qui caractérise Sonidera: un cocktail musical qui fusionne de la cumbia, la salsa, le merengue, la pop ou encore le rock.
Dirigé par Eric Lachaud et Daniel Ochoa, Sonidera incarne une explosion de sonorités et d'énergie, invitant le public à se laisser emporter par leurs compositions et interprétations festives.
Un cocktail musical moderne, traditionnel et sans frontières c'est ainsi la musique de Sonidera. Je vous invite à découvrir l'univers musical de Sonidera dans la plaquette ci-jointe et dans les liens ci-dessus :
youtube BRUMAS / youtube VIENTO / youtube A MI RITMO
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20h : Première Partie - Atelier de l'IMFP encadré par Cyril Achard
Sven Clerx - Batterie
Abel Pierre Beausse - Basse
Marius Grinda - Piano
Lucchino Paquola - Guitare
Elsa Mazeran - Chant
Restauration possible avec Tradistreet
21h : Elie Martin-Charrière "Era #P"
Tout est parti d’un titre de morceau écrit en 2016 « Tell the « Era P’s » Dream », qu’Elie dédiait à son guide spirituel et musical Dré Pallemaerts, réalisant simplement un anagramme du nom de son ancien professeur. De ceci est restée l’image de 'Era #P', l’aire de tous les Potentiels, du Possible, pour la Paix entre les Peuples vivant sur notre Planète.
Ce monde des Possibles est celui où la musique n’a de limite que celle créée par l’artiste-même, elle existe, elle vit. Celle où il n’y a plus de style, mais simplement une manière de créer, une finalité qui est la communion entre toutes et tous dans le son, une même vibration qui porte et emporte.
Tantôt plus dans le style aérien de Wayne Shorter, celui bien concret de l’écriture d’Ambrose Akinmusire, plus mystérieux de Weather Report ou encore plus tellurique de Justin Brown, l’univers de 'Era #P’ est inspirant et inspiré, rafraîchissant tant la prise de risque est centrale au propos de cette musique.
youtu.be
Elie Martin-Charrière - Batterie, Voix
Christelle Raquillet - Flûte
Nina Gat - Piano, Claviers
Elvin Bironien - Basse électrique
